Salle a flood

Je t'excuse. Mais tu as tort, y'a des passages marrants, surtout quand on sait qu'un prof a lu ça.

*Poste quand même la suite*

Le lendemain, vers dix heures du matin, les noctambules se réveillent avec un sérieux mal de crâne, auquel ils ont pris l’habitude de ne pas s’intéresser. Tyler entame la conversation : « Alors ça, c’était un trip du tonnerre mon gars !
_Ouais, viens, on remet ça !
_T’as de la poudre sur toi ?
_Bien sûr, toujours, toujours… ». Une (bonne) dose plus tard, ils repartent pour de nouvelles aventures. Cependant, le trafic à dix heures étant nettement plus dense qu’à trois heures du matin, éviter les autres voitures est nettement plus difficile.

Michel marche dans la rue avec son père. Lui fait des études pour devenir graphiste, son père vit à la campagne et est passionné de chasse (d’ailleurs, comme pour le faire comprendre, il marche dans Paris avec un fusil de chasse en bandoulière). Le premier essaie de faire comprendre au second qu’il ne veut plus revenir à la campagne, mais le second, comme sourd, insiste. Excédé, le fils s’arrête, ordonne à son père d’arrêter de le suivre et s’éloigne. A peine a-t-il fait quelques pas que la Ferrari des drogués le fauche. Horrifié, le père se précipite pour voir comment va son fils. « Ca ira papa, je vais bien… au pire je dois avoir une jambe cassée…
_Ne bouge pas, Michel ! APPELEZ UNE AMBULANCE, VITE ! Ne t’inquiète pas, je vais m’occuper d’eux !
_Non, ce n’est pas nécessaire ! On est en ville, ici ! Non, n’y vas pas !
_Ne t’inquiète pas pour moi, l’ambulance ne va pas tarder ! Ne bouge pas ! ».

Le chasseur se dirige alors vers le rond-point où les vandales effectuent des cercles en hurlant. Il se place au milieu de la rue, vise la voiture et tire une décharge qui finit directement dans un pneu. Quelque peu surpris, les voyous terminent leur course dans un mur. Le chasseur se dirige vers eux, bien décidé à accompagner au commissariat ceux qui avaient blessé sa progéniture. Arrivé au niveau de la voiture, il pointe son fusil en direction de deux jeunes et leur somme de sortir. Mais il n’a pas le temps de réagir face au caniche qui lui saute au visage, lui faisant lâcher son fusil. Fusil qui tombe directement entre les mains du dealer. Sans vraiment savoir pourquoi, celui-ci assomme le chasseur avec la crosse pendant que Tyler félicite son chien pour avoir agi comme il lui avait appris. Le dealer demande : « Eh, man ! On fait quoi maintenant ?
_Bah, le destin t’as donné un pétard, il y a forcément une raison…
_Quoi, tu veux quand même pas qu’on s’amuse à tirer sur des gens ?
_Non, je pensais pas à ça… regarde là-bas… ». Tyler désignait une banque. « Quoi, tu veux qu’on la braque ?
_Ouais ! Le destin t’a donné un fusil et nous a plantés à côté d’une banque, pour moi y’a pas plus clair…
_Ben, on est à Paris, y’a des banques un peu partout…
_Et alors ? ».Suite à cet argument imparable, le dealer entreprend de traverser le rond-point en direction de la banque, en tenant le fusil d’une main, suivi de près par Tyler et Yoda.

Voila, je remonte ce topic ( ) pour dire qu'il faudra pas s'étonner de plus voir de posts de moi chez les apatrides.

Pomy me les casse sévère à me juger sans me connaitre et à me prendre pour un con.

C'est dailleurs pour ça que mon profil est désormais vide. (et je m'en bas les couilles de la fonction EDIT)

C'est bien ce qu'il m'avait semblé comprendre, puis je vois pas pourquoi j'éditerais ton profil.

Tu faisais pas partie de ceux qui reprochaient à Moa ou vivi d'avoir quitté le MAC ?

C'est vrai que Pomy est... spéciale

[Répétition]

Pomy est colérique, OJ est provocateur.

[/Répétition]

Pomy est casse-couille et se permet de juger des personnes de 6 ans son ainé sans les connaitre. J'ai déjà suffisement le moral dans les chaussettes, j'ai pas besoin que quelqu'un qui ne sait rien de moi vienne me casser les couilles en plus.

Quand vous cesserez de la considérer comme la gamine du groupe...

Puis question acharnement, t'en as pas mal fait sur QI aussi, il me semble . Et avais-tu vraiment besoin de te moquer d'elle après son travail sur le blog de la PTI ? Que ce soit utile ou pas, le tact, ça existe, et ça aussi tu l'as dit à une certaine personne qu'on connaît nous deux.

Je dis pas non plus qu'elle est toute blanche, elle avait pas à te parler comme ça, notamment. Mais bon, on va pas s'attarder sur des histoires de caractère, j'ai quelque chose à poster ailleurs.

Je me suis pas moquer de son travail sur le blog de la PTI (ui est mort, comme le premier, soit dit en passant), je trouvais juste ridicule de venir se plaindre d'avoir fait seule 10 copier-coller. Et puis je suis très lin de m'être acharné sur QI, j'y suis quand même pour rien si pendant un moment, il a sorti conneries sur conneries que e ne pouvais accepter.

Ah ben en fait, c'est pas ailleurs. J'ai un potentiel en moi, c'est impressionnant.

A l’intérieur de la banque, une jeune passionnée de voile est inquiète, car elle vient d’apprendre que son fiancé, étudiant graphiste, vient d’être renversé par une voiture. Le pêcheur avec qui elle discutait tente de la réconforter, alors qu’il ne souhaite que la mort de l’étudiant pour pouvoir prendre sa place auprès de cette si jolie jeune femme.

Mais au moment où il allait la prendre dans ses bras, deux voyous font irruption dans la banque, l’un d’eux étant armé d’un fusil de chasse. Le détenteur du fusil hurle alors (dans le sens qu’il parle fort, car, en vérité, sa voix est toujours très molle) : « Euh, ouais, tout le monde à terre, le premier que j’vois bouger, je lui colle un pruneau, quoi. Eh, toi, là-bas… ouais, derrière le comptoir… va ouvrir le coffre…
_Nous ne pouvons pas… c’est un code… celui qui le connaît n’est pas ici, je vous jure, ne me tuez pas s’il vous plaît… ». Le dealer reste figé quelques secondes, le temps de comprendre ce que l’employé vient de lui dire. Il n’est réveillé de sa torpeur que par Tyler qui lui signale une découverte. En effet, un des clients de la banque, un adolescent, tenait sous son bras un ordinateur assez particulier. « Avec ce genre de truc, on peut facilement décrypter une serrure, n’est-ce pas ?
_Euh, oui, il peut, je peux vous le faire si vous voulez…
_Magne-toi…
_Euh, Tyler, demande le dealer, comment tu sais ça ?
_Hein ? J’sais pas. ».

En quelques minutes, l’adolescent se retrouve face à la serrure du coffre principal. Les braqueurs l’ « encouragent » à connecter son ordinateur au système. Il les informe que l’opération risque de durer quelques minutes. Pendant ce temps, ils discutent de ce qu’ils feront avec l’argent. Mais un ascenseur ouvre ses portes à côté du lieu où se trouvent les intéressés. Le directeur de la banque en sort, il est en train de se disputer avec sa femme. La dispute tourne court lorsque le couple se retrouve nez à nez avec le canon du fusil. « Alors ça, c’est le bouquet ! » s’exclame le directeur. « Comme si je n’avais pas assez d’ennuis comme ça, je me fais braquer par deux minables et un boutonneux !
_Hé, tu restes poli, toi ! C’est moi qui ai le fusil ici, si je veux, je te descends !
_Bien sûr, ne me faites pas rire ! Tu ne vas tuer personne, t’as jamais braqué de banque !
_Mais tu vas la boucler ? Eh Tyler, je fais quoi ?
_Colle-lui un pruneau, t’attends quoi ? »

Euh, y avait un truc avant ??
Et y aura un truc apres ??

Tiens, ton message s'est inséré entre les deux miens.

Elle s'est plainte à toi uniquement, tu n'as pas remarqué ? Tout ce qu'elle demandait, c'était un minimum de respect pour ce qu'elle venait de faire, à savoir passer quatre heures sur son PC à corriger des mises en forme pour que ça soit lisible sur le blog. Je sais combien de temps tu peux TOI passer sur un PC, mais elle n'a pas forcément les mêmes habitudes que toi, j'espère que tu peux le concevoir. Et comme je l'ai dit (et toi aussi), ton cynisme a parfois tendance à choquer ton entourage. Du coup, tu n'as pas l'impression de t'être moqué, mais je peux te dire que j'aurais très mal interprété ce que tu avais dit ce jour-là, ou au moins la façon dont tu l'as dit.

Pour aller droit au but, je ne sais pas si c'est lié à ton moral, mais je te trouve vraiment plus agressif ces derniers mois...

Euh... bon, je floode, mais on s'en flood. Fout.

Il y aura quelque chose après, et ce qu'il y avait avant, tu n'as pas voulu le lire, espèce de Debré.

Y a p'tet aussi mon moral qu fait que je suis comme ça

Faut dire que quand t'as un boulet qui t'as cassé les ouilles pendant toute une année, t'as tendance à être agressif quand on t'attaque (faut dire que bite, chatte, cul à longueur de journée, c'est un peu lourd <_<)

Et d'ailleurs, j'ai surtout trouvé ça idiot de venir se plaindre d'avoir fait le travail seule alors qu'elle aurait très bien pu demander à l'un d'entre nous via MP de lui filer un coup de main.

Elle se rale que personne fait rien, mais quand elle commence à mettre les fiches de persos en ligne, elle demande à personne de l'aider à ce moment là.

M'enfin, on va pas parler de ça 50 ans

On arrive à la fin.

Sans plus réfléchir, le dealer appuie sur le bouton. Pas la gâchette, mais le bouton servant à faire tomber le chargeur. Le temps de comprendre ce qui s’était passé, le directeur a le temps, lui, de ramasser le chargeur, de s’emparer du fusil et de donner un coup de crosse au dealer. Puis il recharge l’arme et tient en joue Tyler et l’adolescent, ce dernier étant au bord de l’apoplexie. « Allez, avancez sans faire d’histoires ! »

Manifestement, le tour pris par le hold-up n’a pas rendu sa bonne humeur au directeur de la banque. L’envie de tirer sur ces braqueurs d’opérette l’étreignait tellement fort qu’il n’avait même pas remarqué que sa femme notait sur un calepin quelque chose qui était apparu sur l’écran de l’ordinateur.

Bref, la police arriva en peu de temps, le dealer et Tyler Durden n’eurent aucun mal à s’attirer l’antipathie des membres du jury au tribunal (contrairement à l’adolescent expert en informatique, qui suscita plutôt de la pitié), ce qui leur permit de remporter un séjour tous frais payés au pénitencier de Fleury-Mérogis où ils firent connaissance avec ce qu’ils croyaient être eux-mêmes, c’est à dire de grands noirs plutôt musclés. Force leur était de constater qu’ils n’avaient pas grand-chose à voir avec ces gens-là, en conséquence ils se rendirent compte qu’ils pouvaient aussi bien se désintoxiquer et apprendre un travail honnête dans la mesure du possible. Comme quoi, à toute chose malheur est bon.

Changement de décor. Une banque dans le seizième arrondissement de Paris. Il fait nuit. Deux silhouettes s’approchent du coffre, la première étant la femme du directeur de cette banque et la seconde un gardien qui n’avait su résister à la promesse de pourboire faite à lui par la première. La femme compose sur le cadran le code qu’elle avait noté sur son calepin. Le coffre s’ouvre sans déclencher l’alarme, grâce au gardien corrompu. Et voilà, pense la future ex-épouse du directeur, le plus difficile est maintenant d’en emporter le plus possible. Le gardien aide donc madame à faire entrer le plus d’argent possible dans le coffre, de la Mercedes qui attend dehors cette fois-ci, non sans se servir allègrement. En tout cas, pense-t-il, ma retraite est assurée.

Un avion de tourisme attend madame à l’aérodrome. Elle ne sait toujours pas où se rendre, elle sait seulement qu’elle a enfin l’occasion de se servir de son brevet de pilotage. Et aussi qu’un certain directeur se réveillera avec des éléments manquants autour de lui, comme une épouse et une quantité d’argent relativement conséquente…
EPILOGUE :
_Giovanni s’est fait réprimander par sa mère, qui avait perdu sa Ferrari et trouvé de la poudre blanche dans la veste de son fils.
_Le dealer et Tyler Durden, après quelques années derrière les barreaux, se reconvertirent en devenant libraires.
_Le jeune graphiste, après une courte convalescence, retrouva l’usage de sa jambe et parvint à convaincre son père de le laisser vivre à Paris avec sa fiancée (qui ne tarda pas à devenir sa femme).
_Rien d’intéressant n’arriva au pêcheur.
_L’adolescent informaticien adopta Yoda.
_La directrice coule des jours heureux en Amérique du Sud. Elle ignore encore que son ex-mari a embauché un tueur à gages pour la retrouver.

Pomy avait ralé parce qu'elle gueule tout le temps et voulait justement qu'on continue son travail.


Je suis allé lui dire que je trouvais qu'elle était un peu trop sévère avec toi, et qu'elle pouvait être plus gentille dans ses propos.

Pomy est space (mais je la kiffe un max ^^), faut savoir lui parler.

Et l'histoire du copier coller, elle ne pouvait pas faire de copier coller justement et elle a tout réécrit. En fait, quand pomy engueule, faut pas le prendre méchamment, elle parle tout le temps et n'aime pas trop les critiques et adore les compliments :p.

Bref faut apprendre à la connaitre la petite pomynette. Et ne relève pas ce qu'elle dit sur toi, elle se lasse vite.

Citation :

elle parle tout le temps et n'aime pas trop les critiques et adore les compliments :p.

Une fille quoi

Taga, toi tu es à part, tu es une naine

Aaah

*colle un coup de hache dans la cuisse gauche d'Oj*
Ouais, mais ça paie, t'as pas eu de baffe

Tiens, j'ai eu le 666ème message.

19oj19 a écrit:

Qu'est ce qu'il faut pas faire pour pas se prendre de baffe ...

Mouais.

* Tue Taga *

Oser poster le 666ème message, signe du diable, sur un forum consacré aux (faux) dieux, c'est blaphematoire